Las relaciones diplomáticas y comerciales entre la Corona de Aragón y los Estados norteafricanos durante la Baja Edad Media

Autores/as

  • María Dolores López Pérez CSIC

DOI:

https://doi.org/10.3989/aem.1990.v20.1146

Resumen


Les traités de paix s'insèrent dans un contexte caractéristique des relations entre pays «chrétiens» et pays «musulmans», dont la principale particularité est l'existence permanente d'un état de guerre troublé seulement par la déclaration d'une trêve strictement limitée à un certain nombre d'années. Du point de vue théorique, un traité suppose l'existence d'une conjoncture favorable pour le développement des transactions commerciales tandis que la rupture des relations ou, simplement, la manque de reprise d'une trêve peut signifier la cessation de n'importe quelle modalité d'activité mercantile et, en même temps, la légalité des actions pirates au corsaires. Jusqu’ici l'hypothèse. Cependant, la question n'est pas tellement simple. Il faut préciser d'abord que les «accidents» politiques ont une relative influence sur la dynamique comemerciale, mais qu'ils n'arrivent pas à l’extrême de paralyser les échanges dans le cas où les relations diplomatiques entre les deux états soient inexistantes, exception faite de quelques espaces chronologiques limités pendant lesquels il y avait des hostilités et une confrontation ouverte. En fait, il y a une série de mécanismes d'adaptation pour chacune des situations originées par la conjoncture politique. Or, le problème consiste à savoir la signification des traités et leur répercussion sur les opérations mercantiles. Entre 1387 et 1410 nous avons, d'une part, les chapitres d'une trêve, celle conclue en 1403 entre Martín l'Humain, roi d'Aragon, et Martin le Jeune, roi de Sicile, d'une côté, et Abu Fâris, roi de Tunis, de l'autre. D'autre part, nous connaissons l'existence de concertations ou de tentatives de négotiation d'autres traités à partir de nouvelles documentaires indirectes. En conséquence, notre bue est, au moyen de l'analyse du contenu des traités et la réalisation d'une guerre et de paix. Une comparaison des conclusions obtenues avec le flux commercial résultant de l'étude des sources officielles et privées nous permettra de discerner les possibles concordances et divergences entre l'échelon politique et l'échelon économique. En définitive, il s'agit de constater si l'on peut établir une rélation directe ou non entre étapes d'état de guerre/étapes de récession et étapes de paix declarée/étapes d'expansion, toujours dans une perspective commerciale.

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Publicado

1990-12-30

Cómo citar

López Pérez, M. D. (1990). Las relaciones diplomáticas y comerciales entre la Corona de Aragón y los Estados norteafricanos durante la Baja Edad Media. Anuario De Estudios Medievales, 20(1), 149–169. https://doi.org/10.3989/aem.1990.v20.1146

Número

Sección

Estudios Misceláneos

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