La libertad femenina en las instituciones religiosas medievales

Autores/as

  • María Milagros Rivera Garretas Universidad de Barcelona

DOI:

https://doi.org/10.3989/aem.1998.v28.i0.599

Resumen


[fr] Je pars de la difficulté de l'historiographie des femmes pour décider si le monachisme et la contribution féminine à la vie spirituelle non réglée doivent être interprétés comme des tentatives de libération ou comme des formes d'oppression des femmes par les hommes. J'entends que cette difficulté d'interprétation n'est pas idéologique mais d'ordre symbolique. Je propose de considérer méthodiquement, l'orsqu'on écrit l'histoire générale, la différence sexuelle; c'est-à-dire, les relations des sexes, en plus des relations entre les sexes. La relation des sexes est la relation de chacun des sexes avec son propre infini: deux infinis que la philosophie abstrait dans une "identité humaine"; l'identité qui en résulte est toujours une tandis que les sexes sont toujours et seulement deux. Quand on considère la différence sexuelle, l'histoire des femmes contient, en plus d'oppression-libération, des variétés de liberté féminine qui enrichissent le récit de l'expérience historique.

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Publicado

1998-12-30

Cómo citar

Rivera Garretas, M. M. (1998). La libertad femenina en las instituciones religiosas medievales. Anuario De Estudios Medievales, 28(1), 553–565. https://doi.org/10.3989/aem.1998.v28.i0.599

Número

Sección

NOSEC_CONRES