@article{Ramos_1994, title={La Extremadura musulmana (1142-1248). Organización defensiva y sociedad}, volume={24}, url={https://estudiosmedievales.revistas.csic.es/index.php/estudiosmedievales/article/view/995}, DOI={10.3989/aem.1994.v24.995}, abstractNote={L’Extrémadure almohade se configure dans la partie occidentale de la péninsule à la façon d’une avancée musulmane. Le Tajo délimite norma­lement, pendant tout ce période, la frontière entre les musulmans et les chrétiens, après la conquête définitive de Coria par Alphonse VII. De cette façon, l’Extrémadure musulmàne devient un authentique repère frontalière, même si elle ne présente pas un profit homogène. La zone qui correspond au versant méridional du Tajo possède un caractère tout à fait défensif (il n’apparait que des forteresses mais aucun village) et possiblement avait une population et une activité économique peu abondante. Des lieux comme Cáceres, facilement conquis par Geraldo Sempavor, deviennent inexpugna­bles, grâce à l’activité constructive almohade. La vallée du Guadiana main­tient une certaine continuité dans sa structure économique, d’apres les abon­ndants villages, ainsi qu’une importante activité agraire. Il s’établie, donc, une dichotomie entre une première zone entièrement frontalière et une deu­xième que nous pouvons dénommer, dans un sens rélatif, d’arrière-garde. Les almohades ne passent pas de représenter en Extrémadure une concep­tion simplement défensive et jamais ils n’ont conçu la fortification du lieu comme une étape dans la récupération de la Transierra chrétienne.}, number={1}, journal={Anuario de Estudios Medievales}, author={Ramos, Julián Clemente}, year={1994}, month={dic.}, pages={647–701} }