Finanzas municipales y patriciado urbano. Valencia a finales del Trescientos

Autores/as

  • Rafael Narbona Vizcaíno

DOI:

https://doi.org/10.3989/aem.1992.v22.1079

Resumen


La déconnexion méthodologique entre l’histoire des institutions et l'histoire social et économique devient manifeste dans l'étude des biens, des finances et de la fiscalité, quand il devient indispensable de traiter l’ensemble dans le cadre générique de l'histoire du pouvoir. La conjonction entre l'oligarchie patricieene et les finances du Valencia médiéval, dérive du monopole que certains lignages citadins exercèrent sur le pouvoir municipal et de la projection politico-économique de ses intérêts de groupe sur l'administration publique. L'action politique et la projection financière de deux dynasties patriciennes, comme celle des Marrades ou des Suau, peuvent se suivre à la trace dans le strict contrôle qu'exercèrent les magistratures administrati­ves, dans le financement de l'approvisionnement fromental, dans le recouvrement d'intérêts à charge de la dette censitaire municipale ou dans les mécanismes mêmes du recouvrement fiscal.

Descargas

Los datos de descargas todavía no están disponibles.

Descargas

Publicado

1992-12-30

Cómo citar

Narbona Vizcaíno, R. (1992). Finanzas municipales y patriciado urbano. Valencia a finales del Trescientos. Anuario De Estudios Medievales, 22(1), 485–512. https://doi.org/10.3989/aem.1992.v22.1079

Número

Sección

Temas Monográficos

Artículos más leídos del mismo autor/a