El medio natural en la vertiente meridional del Tajo extremeño en la Baja Edad Media

Autores/as

  • Julián Clemente Ramos Universidad de Extremadura

DOI:

https://doi.org/10.3989/aem.2000.v30.i1.500

Resumen


[fr] Durant le bas Moyen Âge, la croissance de la population et la pression constante exercée sur les ressources naturelles se sont traduites par de nouvelles habitudes vis-à-vis de l'environnement sur le versant méridional du Tajo. La présence de l'homme semble être un facteur décisif pour expliquer la végétation. Ainsi, l'action de celui-ci n'est pas étrangère á l'extension des forêts de chênes (dehesas), ou aux formes de dégradation qui se reflètent avant tout les lieux plantés de cistes. Les ordannaces du bas Moyen Âge dessinent très clairement ce nouveau paysage. Elles imposent un contrôle sévère de la richesse arborée afin que l'approvisionnement en bois (de chauffage et de construction) puissse aller de pair avec le maintien d'un nombre suffisant d'arbres qui offrent les glands et les branchages indispensables au bétail. Parallèlement, on commence à interdire ou à limiter à certaines périodes de l'année la pêche et la chasse. Tant la progressive disparition de l'ours, animal à caractère forestier, que la chasse au loup témoignent de haut degré de civilisation du paysage, qui a aussi eu des conséquences sur la faune sauvage hervibore.

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Publicado

2000-06-30

Cómo citar

Clemente Ramos, J. (2000). El medio natural en la vertiente meridional del Tajo extremeño en la Baja Edad Media. Anuario De Estudios Medievales, 30(1), 319–386. https://doi.org/10.3989/aem.2000.v30.i1.500

Número

Sección

Estudios Misceláneos