Reflexiones sobre marginalidad

Autores/as

  • Nilda Guglielmi Universidad de Buenos Aires

DOI:

https://doi.org/10.3989/aem.1990.v20.1152

Resumen


L'auteur a tenté, dans de précédents travaux, de recueillir des données conceptuelles, afin de définir les catégories de marginalité ou d'alilnité et de les appliquer au champ historique. Elle considère que la définition obtenue -valable à ce moment-là- a besoin de nuancement et de flexibilité. Voici le but qui guide ce travail. On a essayé d'obtenir une classification plus riche, à l'aide des données sociologiques. Dans ce but, nous avons examiné le vocabulaire existant, et nous avons proposé de nouveaux termes. Dans le premier cas, nous analysons le contenu possible de marginalité, altérité et allogénéité. Dans la proposition, les mots «marginé» ou «marginalisé», «marginal» et «dissident» apparaissent. Toutes ces catégories sont considérées comme formant un noyau d'individus ex-centriques, qui se trouvent dans une position fausse par rapport à leur groupe ou classe sociale. Comme démonstration, nous avons pris l'exemple parciculiet du concept de dissident. Nous l'avons remplacé dans le contexte historique en le rapprochant des concepts de satire et de pamphlet, sur le plan littéraire, dans l'analyse des Coplas de la panadera -Couplets de la boulangère- (en ne faisant que les mentionner puisqu'il s'agit d'une étude déjà publiée) et de l’oeuvre du poète Rutebeuf. Le premier auteur, anonyme, est traité de dissident occulte, le second, de dissident manifeste. Tous les deux adoptent une attitude critique face à la société dans laquelle ils vivent. Dans la poésie de Rutebeuf, largement citée, ressortent les éléments d'auto-punition et d'exo-punition.

Descargas

Los datos de descargas todavía no están disponibles.

Descargas

Publicado

1990-12-30

Cómo citar

Guglielmi, N. (1990). Reflexiones sobre marginalidad. Anuario De Estudios Medievales, 20(1), 317–348. https://doi.org/10.3989/aem.1990.v20.1152

Número

Sección

Estudios Misceláneos